La compagnie aérienne Aigle Azur a confirmé le lancement le 16 juin 2011 de sa nouvelle ligne entre l’aéroport de Bâle – Mulhouse et celui de Bejaïa en Algérie.

La compagnie aérienne Aigle Azur a confirmé le lancement le 16 juin 2011 de sa nouvelle ligne entre l’aéroport de Bâle – Mulhouse et celui de Bejaïa en Algérie.

La compagnie française reliera de juin à septembre l’EuroAirport à Bejaïa en Kabylie une fois par semaine, le jeudi, avec un Airbus de la famille A320. Une réponse à la demande de la population algérienne dans le Haut-Rhin, où le consulat fait état de 36 000 personnes immatriculées. Or jusque là les seules possibilités de se rendre en Kabylie passaient par Paris, Marseille ou Lyon.

Bejaïa sera la cinquième destination algérienne d’Aigle Azur depuis l’EuroAirport, après Alger, Constantine, Oran et Sétif. L’aéroport Abane Ramdane reçoit environ 200 000 passagers par an, dont seulement un quart sur des vols domestiques, transportés par Aigle Azur mais aussi Air Algérie (depuis Alger, Orly, Lyon et Marseille) ou Tassili Airlines (Constantine, Hassi Messaoud, Oran). Les détails de la nouvelle ligne ne lui ont toujours pas été communiqués officiellement, et le site de la compagnie ne permet pas encore de réservation.

Source : AirJournal – françois Duclos – 01 avril 2011

Aigle Azur testera cet été un vol Mulhouse-Béjaïa

La compagnie aérienne Aigle Azur devrait lancer, le 16 juin prochain, une nouvelle ligne entre l’aéroport de Bâle-Mulhouse et Béjaïa.

Une ligne qui devrait être testée pendant trois mois. Aigle Azur ouvrira ainsi sa cinquième destination algérienne depuis l’EuroAirport, après Alger, Constantine, Oran et Sétif. La nouvelle ligne devrait être opérationnelle une fois par semaine (le jeudi). La compagnie aérienne française dessert déjà la capitale des Hammadites depuis Paris, Marseille et Lyon. La nouvelle ligne aura un impact important, aussi bien pour la communauté algérienne originaire de l’Est (Jijel, Sétif, Bordj Bou Arréridj, Tizi Ouzou et Bouira) que pour la région de Béjaïa (attirer des investissements). En effet, à ce jour, les voyageurs sont contraints de se déplacer à Paris (aéroport d’Orly) ou à Lyon (aéroport de Saint-Exupéry), où deux compagnies aériennes, Air Algérie et Aigle Azur, assurent la liaison.

Dans le contexte actuel, pour un vol d’une durée de 1h30, les voyageurs y consacrent la journée, ce qui entraîne une fatigue et de nombreux surcoûts. Ainsi, les voyageurs qui désirent se rendre en Algérie pendant la période estivale sont découragés par un tel périple (en particulier les personnes âgées). Le potentiel d’une telle liaison aérienne est validé par les données suivantes : 36 000 personnes (région Alsace Vosges) sont immatriculées au consulat d’Algérie de Strasbourg ; les enfants d’origine algérienne ou les non immatriculés représenteraient le même chiffre. L’ensemble de la population algérienne de la région Lorraine et Franche Comté est à prendre en compte, tout comme l’ensemble de la population algérienne des pays frontaliers : Suisse et Allemagne. A cela s’ajoutent les non Algériens ayant des attaches en Algérie du fait des passés très liés de ces deux pays, sans oublier les touristes qui pourraient visiter cette destination au même titre qu’une autre région du globe.

Dans un premier temps, il est proposé que cette ligne soit ouverte de façon saisonnière, entre mars et octobre par exemple, et pourrait également s’organiser sur un rythme bimensuel, afin d’assurer le remplissage optimal des avions. Pour la pérennité de toute ligne, Aigle Azur doit faire une estimation des taux de remplissage des ses appareils et des coûts et des recettes.
La compagnie évite la stratégie de concurrence frontale, elle préfère celle de complémentarité avec les acteurs en place, notamment les lignes assurant les liaisons entre l’Algérie et la France.

Source : El Wattan – Kamel Benelkadi – 15 février 2011

Aigle Azur testera un vol Mulhouse-Bejaia, cet été

Selon le quotidien algérien Liberté, Aigle Azur devrait lancer le 16 juin 2011 une nouvelle ligne entre l’aéroport de Bâle-Mulhouse et Bejaia, en Kabylie. Une ligne qui devrait être testée pendant trois mois.